Jules attendait dans le fauteuil qui lui était destiné sous la tente des candidats. La tente complètement insonorisée pour ne pas entendre les commentaires sur la prestation de Johanne, les empêchant de préparer à l’avance leur épreuve. Il jeta un œil à Garance et Artémis, leurs visages rongés par l’angoisse reflétaient sûrement le sien. Lorsque Johanne rentra de nouveau dans la tente, poussant le pan de tissu rouge de l’entrée, elle brisa sort de silence un instant. Les cris de la foule envahirent l’espace comme une mer déchaînée. Jules eut du mal à respirer et eut cette étrange sensation de se noyer. Johanne avait le regard vide et épuisé, elle ne tourna même pas les yeux vers eux, se dirigeant directement dans l’espace réservé aux candidats ayant déjà passés l’épreuve. L’angoisse le saisit une nouvelle fois, allait-il y avoir un dragon ? C’était sa plus grande peur actuellement, du moins à cause de son imagination limitée à ce moment !

C’était à lui. Il déglutit. Regarda les autres, et ne sut lire dans leurs yeux qu’un « Bonne Chance » non formulé. Lorsqu’il sortit de la tente, deux choses le fouettèrent avec violence : les cris, la chaleur ! La foule en délire voyant un nouveau candidat sortir produisait un niveau sonore impensable en comparaison au silence de la tente. C’en était de même pour la chaleur ! La magie parfois n’était pas toujours la bienvenue ! Il jeta un regard circulaire, regardant les gradins autour du stade de Quidditch, malgré tout cette vision lui insuffla une énergie incroyable. Des centaines d’élèves criant son nom ou applaudissant lui fournissaient une vague de chaleur et une envie de vaincre incommensurable. Il comprit alors les artistes de la scène : le public était une drogue !

Il s’approcha de Mélusine qui lui tendait la main de façon accueillante. Alors qu’il s’approcha, elle entoura ses larges épaules de son bras et lui expliqua les épreuves à surmonter. Pas de dragons ! Mais des évènements auxquels il n’avait pas pensé ! Le balai : facile, quant à l’épouvantard il l’avait vu en cours… Il n’eut pas le temps de réfléchir qu’on le plaça dans le cercle de départ et d’arrivée. Le présentateur, dont la voix familière éveillait des souvenirs, hurla le départ ! La foule fut plus rapide à réagir que Jules…

Il courut vers le balai. Alors qu’il arrivait en courant il lui ordonna de se lever et l’enjamba aussitôt. C’était une habitude depuis qu’il avait joué dans l’équipe de Quidditch durant sa scolarité. Il fila aussi vite qu’il le put vers l’anneau, réfléchissant encore plus vite à la façon dont il devrait le traverser. Le cercle s’avançait un peu trop rapidement et Jules n’eut pas le temps de trouver un sort adapté. Démunis il accéléra, espérant que la vitesse l’aiderait et hurla son plus puissant « Protego !» Le bouclier l’entoura dans une bulle magique, mais il était plus large que le cercle… Il se brisa alors en mille morceaux ! Protégeant alors Jules à mille endroits mais pas aux restes !

Des flammes bleues s’accrochèrent à ses bras rongeant ses vêtements et brûlant sa peau. Typiquement visqueux, ce type de feu, tellement qu’il brûlait à vif le combustible, s’accrochait comme le napalm à la peau. « Aaaaaah ! Mais quel c*****d ! P****n, pourquoi je réfléchis jamais avant de faire les choses ! » Jules se répandaient en injures, alors qu’une fois l’anneau dépassé les solutions lui venaient en tête comme une petite armée de soldats de plombs. « Fiammifero extenguis ! » Les flammes rétrécirent jusqu’à disparaître lentement. Mais la brûlure sur son bras gauche, à la pliure du coude, lacérait sa chaire de douleur.

Lorsqu’il atterrit, le courant d’air embrasa de nouveau son vêtement. Il l’enleva d’un seul coup et jeta à nouveau le sort antiflamme, se concentrant un peu plus sur la formule. Il plongea aussitôt son bras dans l’eau laissant le froid atténuait la brûlure. Il pointa sa baguette sur son bras immergé « Mercurochromos ! ». Ainsi le pansement magique cicatriserait plus rapidement la blessure, d’autant plus qu’il avait emprisonné une fine pellicule d’eau sous le sortilège.
Le bruit de la foule le rappela à la course, c’était loin d’être fini ! L’étendue d’eau qui s’étendait face à lui l’effraya, des hectares d’eaux installés pour l’occasion. Jules ne pensa même pas à jauger la profondeur. Comment allait-il plonger là-dessous ! En fin connaisseur des plantes, la branchiflore lui sauta directement en tête. Cependant il n’avait pas prévu le coup ! En plus il n’était même pas sûr d’en trouver dans ce lac artificiel ! La branchiflore n’est pas une plante commune et qui plus elle ne pousse que dans les profondeurs, pas très utiles pour entamer la descente. A genoux, le bras toujours plongé dans l’eau, il semblait parlé aux poissons. Il semblait juste, car son cerveau fonctionnait à une vitesse effrénée pour trouver une solution. Il perdait du temps et s’en rendait compte ! C’est d’ailleurs ce qui le poussa à prendre la première possibilité insensée qui lui vint en tête.

Il essaya le sort à plusieurs reprises. Plongeant la baguette dans l’eau, articulant la formule avec soin, il regardait les grosses bulles remontaient à la surface. Il savait que c’était dangereux, il ne pourrait pas tenir plus d’une demi-heure avec un air aussi instable. Les lois de Graup lui revenaient en mémoire à chaque instant et il décida de les défier. Il sauta sur ses pieds et se déshabilla, il était hors de question de s’alourdir avec des vêtements ! Il entendit la foule hurlait de plus belle et ne put s’empêcher de sourire ! Ne gardant qu’un simple boxer, qui mettait, à n’en point douter, son corps d’athlète en valeur, il plongea dans l’eau.

Plus il s’enfonçait dans l’abysse plus l’eau était sombre et lui piquait les yeux. Dès qu’ils ressentaient le besoin, il ‘bullait’ « Oxybuls », et de sa baguette sortait cet air magique qu’il gobait avidement. Il avait une odeur de soufre, mais Jules l’aspirait quand même. « Tu vas te choper une de ses maladies magiques gars qui va t’envoyer direct à l’hôpital Sainte-Marie-D’Entre-Les-Deux !», le plus fameux hôpital du pays. Il continua à s’enfoncer découvrant alors une faune et une flore des plus naturels ! « Lumos !» un banc de poisson s’enfuit à la vue de la lumière. Jules ne savait pas où chercher cette fichue clé en or ! « J’espère au moins qu’elle est grande ! » Il sembla arriver au fond du bassin rocheux, l’eau était noire. Il leva la tête vers la surface, le soleil jouait avec les vagues, mais n’arrivait pas à descendre plus loin entre les pierres et les algues qui formaient comme un filet capturant tous les rayons. La silhouette d’une raie-vampire passa loin au-dessus de lui, il se fixa, évitant d’attirer l’attention. Ce n’était pas le moment d’affronter le monde marin !

Il ne sait combien de temps il passa au fond du lac à tâtonner du bout de sa baguette la vase et les algues. Il évita d’ailleurs de justesse une anémone vénéneuse de lui gober la main. Il croisa également un banc de seiche et se promit de le raconter à Thynta ! Mais toujours pas de clé… Il commençait à désespérer quand un poisson lui frôla la cheville ! Il se retourna et vit la raie-vampire lui tournait autour ! Ca s’annonçait mal, sans geste brusque, il tenta de s’éloigner mais c’était trop tard… Elle fonça sur lui, il l’esquiva d’un coup de pied et lui lança un sort expulsif au visage. Cela eut pour seul effet de l’énerver d’avantage. Elle se retourna et fonça droit sur la baguette, elle saisit le bras à Jules et l’entraîna à une vitesse dans les fonds marins. De douleur Jules lâcha sa baguette… C’était comme s’il perdait sa vie, comme si du haut d’un précipice il avait fait le pas de trop qui le propulsait dans le vide ! Il avait tout misé sur sa baguette, et notamment l’air, et avait tout perdu. La raie-vampire l’emportait toujours plus profond, ses deux crocs s’enfonçant dans la chaire. Un éclair apparut soudain, à deux mètres devant lui. Dans cet abysse, on ne voyait rien, mais Jules reconnut la plante aussitôt ! Une lampeggineuse, une plante qui produit un courant électrique comme défense naturelle, faisant ainsi parfois quelques éclairs dans le noir. Selon les propriétés de la physique le courant se transmet… Il ne réfléchit pas plus longtemps et la saisit ! La réaction ne se fit pas attendre et la raie-vampire, électrocutée, lâcha aussitôt prise. Evidemment Jules ne fut pas aussi rapide, et une fois libéré de l’appendice animal, ce fut lui qui reçut la décharge.

Il était bien trop loin pour retourner à sa baguette, et encore plus loin de la surface. L’air lui manquait… Il n’avait plus beaucoup de temps et commença à s’exciter. En même temps que le flash de la plante, la lumière se fit en lui. Voici le lieu où l’on peut trouver la branchiflore en abondance ! Une lumière artificielle qui ne brûle pas la plante, et par à éclair tellement rapide qu’il accélère le processus biorganique de la plante ! Il se mit à chercher activement dans le noir, contre la roche. Lorsqu’un nouveau flash éclaira l’ensemble du bassin, il repéra une petite cavité dans la pierre, vomissant des guirlandes et des guirlandes de branchiflores. Il arracha une pleine poignée tout en s’éloignant. Un ongle, deux minutes d’effet. Il en prit un pouce, il avait dix bonnes minutes devant lui ! Même s’il garda une bonne poignée avec lui. La transformation ne se fit pas attendre, l’application sous la langue avait un effet instantané.

Il remonta alors l’abîme dans lequel l’avait entraîné la raie pour regagner sa baguette. Lorsqu’il sortit du canyon il vit sur sa droite un poteau sur lequel était accrochée une clé. C’était évident ! Beauxbâtons, une école aussi classe, n’allait pas cacher une clé d’or dans la vase ! Il se maudit une fois de plus et rejoignit le coteau où il s’était fait attaquer par la raie. Il lui fallut un peu plus de temps pour retrouver sa baguette et reprit de la branchiflore portion par portion. Il ne fallait pas qu’une fois dehors il ne puisse plus respirer car il avait consommé trop de plante ! Il retrouva sa baguette et regagna le plus vite qu’il le put la surface.

Il avait perdu un temps monstrueux dans ce lac ! Il se demanda ce qu’avait bien pu faire Johanne pour s’en sortir ! Il relança un sortilège de soin sur la morsure de la raie, arrêtant aussitôt le saignement. Le coffre ne se trouvait pas très loin du lac. Jules était harassé, épuisé, las, mais il se mordit la langue et continua. Les cris de la foule l’aidèrent à retrouver un peu de courage. Le silence dans le lac avaient été angoissant, sans que Jules ne s’en rendît compte. « Asciuga ! » Prononça-t-il pour se sécher, avant de renfiler en vitesse ses vêtements. Puis il se dirigea vers l’avant dernière épreuve. Il glissa la clé dans le coffre.

Jules connaissait sa plus grande terreur, le temps, la mort. La première fois qu’il s’était confronté à un épouvantard celui-ci s’était transformé en une rafale de temps, entourant Jules et le faisant vieillir. Ca n’avait pas été si difficile car il n’avait pas pris conscience du pouvoir de ce vent symbolique. Mais cette fois-ci lorsqu’il ouvrit le coffre, il fut frappé par ce qu’il vit.

Avec une grande difficulté une main, vieille, ridée, tavelée s’accrocha au bois du coffre. Puis une seconde. Avec difficulté un petit vieux sortit de la malle lui tournant le dos, comme pour ménager son effet. La foule s’était tue, à la fois inquiète pour Jules et par respect pour sa peur. D’un seul coup l’epouvantard se retourna et Jules se vit. Lui, avec ces vêtements râpés, à quatre-vingt-dix ans, aux portes de la mort. Son double s’avançait vers lui avec des petits pas faiblard. Le coup fut brutal ! L’image était violente ! Jules se retrouva alors devant se pires craintes, plus incapables de bouger, de manger, de vivre, un rebus de la société, le déchet de sa propre vie, ce qu’il en restée, ce qu’il fallait jeter. Il mit un long moment à agir. La foule reprenant peu à peu vie pour l’encourager. Il comprit qu’il faisait un concours important dans sa vie, il comprit qu’à quatre-vingt-dix ans il pourra regarder en arrière en pensant à ce moment-là, il comprit qu’il ne vivrait plus les émotions mais qu’au contraire il prendrait plaisir à les revivre, à les remémorer, à les partager, il comprit qu’il aurait dans ces rides la marques d’une vie pleines et chargées, des instants de joies et de malheurs, c’est instant fort en émotion qui font d’un être humain un être vivant. C’est instant comme celui-là, où assaillit par sa peur il se sentait des plus vivant en la combattant. Non le temps n’était pas la mort, mais la permission de vivre la vie. « Ridikkulus ! » L’épouvantard explosa sans se ridiculiser. Le Temps, ça se respectait.

Il ne lui restait plus qu’une épreuve. Jules trouva la course vraiment longue. L’hippogriffe à l’ombre d’un bosquet sur la rive du lac lui permettrait de retourner dans le cercle de départ qu’il avait quitté avec le balai. Il regarda d’ailleurs autour de lui, le balai avait disparu. Avant de courir vers l’animal, il s’agenouilla et ferma les yeux. Un hippogriffe ne s’abordait pas avec hâte. Non, il fallait être digne de lui, être un personnage fier et noble comme lui. Une petite minute de concentration mentale, lui éviterait des heures de négociations devant la bête. Les hippogriffes n’étaient pas des êtres indomptables, au contraire avec un peu de respect et une conception égalitaire de la nature, cela s’avérait un jeu d’enfant.

Une fois calme et apaisé, car un tempérament excité est preuve d’instabilité, Jules se leva. Avec grâce, la tête haute, le dos droit il s’approcha de l’hippogriffe. Il prit garde de ne pas le regarder dans les yeux, défiance ultime, mais de fixer son cou. Son attitude séduit l’hippogriffe, son attention était acquise. A une distance respectable il s’inclina, gardant une raideur élémentaire dans son dos. La réaction de l’animal ne se fit pas attendre, il poussa un cri et s’agenouilla à son tour. Lentement Jules se redressa et grimpa sur l’aile que l’hippogriffe lui déployait pour l’aider à monter. Ils s’envolèrent tout deux majestueusement. Jules lui montra avec fermeté le cercle, hésitant à caresser la bête pour la remercier, incapable de savoir si cela serait mal vu. Il n’insista pas et attendit que l’hippogriffe le dépose avec grâce au centre du cercle.

Une fois arrivé, il ne fit plus attention à rien, ni aux cris, ni aux commentaires, ni même à son temps ! Il ne pensait qu’à une chose : s’effondrer. Et peut-être après il s’occuperait de ses blessures qu’il avait soignées que sommairement.

1ère épreuve :

Garance sortit doucement de la tente des champions. Elle avait une boule au ventre : "Allez, je vais y arriver" se dit-t-elle en essayant de se calmer. C'était à son tour maintenant. Johanne Plessy et Jules Verget étaient déjà passés. Des immenses estrades avaient été mises en arc de cercle. Cela l'intimidait beaucoup. Une foule immense l'acclamait. Devant elle, un grand cercle avec des flammes bleues lui faisait face. Sa combinaison d'un beau bleu la serrait. Elle était en sueur. Elle s'avança vers son balai. Il était magnifiquement bien fait dans un beau bois de chêne avec écrit en doré "Nimbus 2012". D'une voix forte et douce elle lança :
"Actio"
Le balai se retrouva dans ses mains. Heureusement qu'elle s'était entraînée chez elle au quidditch car sinon elle aurait été incapable de monter sur un balai. Elle enfourcha son balai et décolla. La foule la regardait avec inquiétude, se demandant ce qu'elle allait faire. Elle regarda un moment le cercle et fit tourner joliment sa baguette en disant :
"Aguamenti"
Mais rien ne se passa, le jet d'eau qu'elle avait créé n'étant pas assez fort à faire disparaître les flammes. Alors la jeune fille déterminée lança un autre sort dont elle se rappelait :
"Amplificatume"

2ème épreuve :
La jeune fille se dirigeait vers le bord du lac, toujours aussi inquiète. Il faisait un temps magnifique, le vent souleva ses cheveux et les rayons du soleil lui caressaient les joues. Elle arriva sans encombre au bord du lac avec un bel atterrissage. Elle posa son balai. Elle se retourna et vit que la foule avait transplané derrière elle. Mélusine Calaelen lui accorda sourire d'encouragement. Les trompettes sonnèrent et...une, deux, trois... Garance plongea dans l'eau. Sous l'eau elle jeta un nouveau sortilège :
"Anapréo"
Une bulle lui couvrit la bouche et elle put respirer à son aise dans l'eau profonde. Elle entendait les sifflements des sirènes qui la firent trembler. Au début tout allait bien, entourée d'algues elle ne rencontra aucun danger mais elle se plaignit de l'eau pas très propre. Heureusement elle réussit à trouver l'endroit où était dissimulée la clé. Elle s'approcha pour la saisir. Elle était toute proche du but lorsqu'un monstre marin l'attaqua. Elle tempêta et lança :
"Expelliarmus".
Le monstre fut expulsé. Elle s'empara vite de la clé mais le monstre se rua sur elle en la blessant à la jambe. Il la laissa toute seule. Elle essaya tant bien que mal de remonter à la surface mais à cause de sa jambe blessée elle n'y arrivait pas. La pauvre jeune fille était désespérée. Elle se laissa couler pensant que c'était la fin et qu'elle avait échoué. "Adieu papa, maman, mes amis, je ne vous oublierai jamais" murmura-t-elle. Des larmes coulèrent sur ses joues et elle ne réalisa pas tout de suite qu'une sirène l'avait soulevée et la remontait à la surface de l'eau. A moitié noyée mais sans avoir lâché un seul instant la petite clé qu'elle serrait fermement dans sa main, Garance n'en crû pas ses yeux. A l'air libre, la sirène la déposa sur le bord de la rive. Garance voulut la remercier mais la sirène s'était déjà volatilisée. "ça va ta jambe?" la questionna Mélusine Calaelen. "Oui, ça va aller; je crois que je suis capable de continuer".

3ème épreuve:

Mélusine l'emmena dans une pièce sombre où un coffre avait été déposé. Elle lui souhaita bonne chance, puis sorti de la pièce. Pour ouvrir le coffre la jeune fille lança un sort :
"Alohomora"
Le coffre s'ouvrit d'un seul coup et laissa s'échapper un épouvantard qui avait pris l'apparence d'un gros chien féroce.
"Ridikulus"
lança-t-elle tout de suite. Le chien se retrouva avec une perruque sur la tête et le pelage recouvert de nœuds papillon de toutes les couleurs. La jeune fille sourit, et contente d'elle, partit pour la dernière épreuve.

dernière épreuve

L'hippogriffe était confortablement assis sur l'herbe. Il l'observait d'un œil mauvais. Garance avait décidé de ne pas utiliser de sortilège mais elle voulait se montrer drôle. Elle le salua et commença à jongler avec des oranges qu'elle avait trouvées. L'hippogriffe, étonné, la regardait attentivement. Il commença à rire, d'un rire bizarre. Puis, mise en confiance, elle se mit à faire la roue, deux ou trois fois. Ensuite, l'hippogriffe s'approcha d'elle; Elle resta immobile car elle savait qu'il ne fallait pas faire de gestes brusques pour que l'hippogriffe n'ait pas peur. Il l'invita à s'asseoir sur son dos. Elle ne se fit pas prier et monta sur lui. Il s'envolèrent très haut dans le ciel au dessus des nuages. Garance se sentit heureuse. Ils atterrirent à la tombe des champions où la foule les attendait. Elle les salua et rentra sous la tente.
"Bon courage" lança-t-elle à Artémis.

Heureuse mais fatiguée par les épreuves, elle retourna dans la salle commune des Cerconor où elle put savourer un repos bien mérité!

Votes clos!

Johanne: 2
Jules: 3
Garance: 1

Félicitation à JULES VERGET notre champion!

Jules... go sur le site du jeu ou se déroulera le tournoi que tu le prenne vite en mains!! Début du tournois le 15 juillet!!!!( rappel!) Sauf si tu laisse ta place à Johanne.

Bou bou bou personne n'a voter pour. , mon texte était si nul que ça !!',,,,

Mais non ma petite Garance!! Il était très bien ton texte!!!!

Garance ! T'inquiète pas ! Tu réessaiera l'année prochaine ! Rien ne se perd jamais à Beauxbâtons...

En tout n'hésitez pas à venir le et nous soutenir ! Car c'est tous ensemble qu'on va montrer que Beauxbâtons ceux sont les meilleurs !

Ah et j'ai oublié ! Désolé Johanne ! Mais être champion de l'école arrive qu'une fois dans notre vie ! Je pouvais pas laisser passer ma chance

Toi aussi je t'attends à Durmstrang Institute ! Et je compte sur toi

Johanne est déjà sur place, seulement vu que j'avais plus aucune nouvelle elle a était présenté comme championne.
Elle te filera l'insigne en rp. Dit que tu a était malade!^^

Okay je viens d'arriver sur les lieux ! Y a un petit bug dans le site, j'avais rien sur le FA (normal j'y étais pas) mais du coup je savais pas ce qu'il se passait !!! Donc je suis allé parlé à Johanne en tout cas ! Qui sont les autres champions ? Je les vois pas non plus !

Ah et désolé pour l'absence ! De temps en temps ma présence sur le site s'essouffle et passe un peu la trappe... Mais tu commences à me connaître ! Je reste un fidèle élèves de Beauxbâtons et un de ses plus fervents serviteurs ! Qui sait peut être que plus tard Jules deviendra professeur et puis directeur ! Ahaha !!!

D'autant plus qu'en Italie il fait un chaleur de plomb et qu'on est tellement bien dehors au soleil

Oui mais je compte vraiment sur toi pour le tournois

J'ai peur de ne pas être là pour le tournoi des trois sorcier , vous me diré ce qui c'est passe et qui est le champion

J'ai peur de ne pas être là pour le tournoi des trois sorcier , vous me diré ce qui c'est passe et qui est le champion

Ne t'en fais pas! Je posterais des résumé comme une transmission en direct!

attender moi sur la plage mêmes si ça prend 2 jour attender moi !!!!!!!!

Aha okay ça devrait le faire

Oh pire c'est pas grave Garance... respire! oO Ils seront pas loin.